Par Omar H.C le dimanche, décembre 20 2009, 13:09
La récente offensive des adversaires de l’intégrité du territoire du Maroc et leur campagne toutes azimuts au sujet de l’affaire artificielle créer de toutes pièces, a constitué un détonateur mobilisant toute la nation marocaine autour de la question sacrée du sahara.
Pour moi, cette affaire A.Haidar, est une opportunité unique à saisir, et à laquelle il va falloir s’accrocher pour exhorter la communauté internationale, à ne pas s’ingénier à la pratique de la politique de deux poids–deux mesures.
Il s’agit à présent de se mobiliser à tous les niveaux, gouvernement, classe politique, société civile et médias , pour dénoncer et jeter la lumière sur les violations constantes des droits de l’homme dans les camps de la honte et du mépris de Tindouf. De même, il faudra marteler dans toutes les instances internationales, notamment en Europe et aux Etats-Unis (qui se se sont montrés prompts, à s’occuper d’un cas ,qui a fait la une de leurs presses), de l’expulsion massive de milliers de marocains d’Algérie, et les conséquences désatreuses pour les familles séparées ,arrachées de leur patrimoine ,de leur mémoire,depuis trente ans. Là aussi, la communauté internationale devrait exercer son poids moral, s’agissant de violations des droits de l’homme. La communauté internationale devrait ne pas ignorer ou feindre d’ignorer ,de ne pas savoir la situation absurde, voire criminelle imposée par les dirigeants algériens aux familles aussi bien marocaines que algériennes séparées par une frontière hermétique. Bien sûr ,nous dit-on qu’on peut se rendre en effet, en Algérie sans visa ,mais seulement par transport aérien casablanca –Alger. Il faudra marteler, ce qui me semble la chose la plus immorale , que : pour une famille installée à Oujda et qui veut voir ses proches à Tlemcen, villes distantes de 40km seulement, le voyageur devra faire un chemin de croix en effectuant un trajet de 2800km. Oujda –Casa-Alger , Tlemcen. (A ce sujet, j’ai été témoin en juin dernier des scènes déplorables ,notamment d’une famille algérienne de quatre enfants (6 billets d’avion au total ) qui devaient se rendre à Agadir, et qui vivaient la hantise que l’on réquisitionne leurs places prises plusieurs semaines à l’avance.) Ici ,je ne parle que des droits élémentares de libre circulation de personnes à l’intérieur de ce Maghreb uni pour lequel nous luttons.
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